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le videur d'appartemnet

chapite 1

Jamais je n’avais entendu parlé de ce nom. Personne dans cette ville ne le connaissait. Même quand je demandais aux anciens: << avez-vous déjà connu un certain Juvelle, Antoine Juvelle? >> Tous me répondirent que ça ne leur disait rien. Et pourtant, chaque jour un peu de mon mobilier disparaissait. Je ne sais pas comment, mais il suffisait que je m’endorme, ne serait-ce qu’un peu, pour me réveiller dans un appartement encore plus vide.
Au début je prenais ça avec beaucoup de calme. Quand j’ai vu que la télé n’était plus là, je me suis dit: << c’est une chose qui peu me faire que du bien. >> mon lave vaisselle, pourtant siliconé au plan de travail, parti je ne sais où: << pourquoi pas. Ça sera l’occasion de revenir à levier. >> Mais quand ça a était le tour du réfrigérateur, de la baignoire, du chiotte, j’ai vraiment pris la chose au sérieux.
Pour que tout soit claire. Je suis actuellement enfermé à la prison de la santé, et c’est de là que j’écrit ceci. C’est un moyen comme un autre de rendre une histoire intéressante. Introduisez une fin au début d’une histoire sans expliquer comment vous êtes arrivez là, incitera davantage le lecteur à vous lire. Je pense que c’est une méthode à prendre en compte pour ne jamais être lu en diagonale.
Dans toutes les pièces j’avais disposé des piéges a ours. Avec la réinsertion de ceux la dans les Pyrénées, ils avaient repris la fabrication. Mais même avec ça, mon appartement ce vidait toujours.
Je ne comprenait pas. comment faisait-il pour me voler avec autant de discrétion? Jamais je ne l’ai vu, ni même entendu. Pas un piége a ours ne s’étaient refermé.
Et puis, un jours, << LA CAVERNE DES PARTICULIERS >> m’appela.
<< bonjours, Mr Antoine juvelle. C’est le patron de la caverne des particulier. je prend la peine de vous appeler…>>
Je ne suis pas Antoine juvelle. Vous avez du faire une erreur Mr.
<< ah…Je vous pris de m’excuser. Je suis pourtant bien au 06 52 41 78 96? >>
Heu…oui. Où avez-vous eu ce numéro?
<< c’est un dénommé Antoine juvelle qui nous la laissé. Vous savez, cette semaine il nous a remis beaucoup d’article. Et pour le remercier, on souhaiterai le prévenir que dans n’importe lequel de nos magasins, il pouvait utiliser un bon d’achat de 500 euros. Il a juste besoin de se présenter. Il n’y aura pas de problème. Tous nos magasins ont été prévenus. Vous pourriez lui faire la commission? >>
Comment voulez-vous que je lui face la commission. Je ne connais pas d’Antoine juvelle.
<< désolé, je croyais que vous étiez son frère. Vous avez la même voix. >>
Juste comme ça. Il ne vous aurez pas laissé par hasard un écran plat JVC?
<< attendez. Je fais une recherche. >>
Si vous voulez être lu, ne mettez jamais des phrases compliquées, que vous-même auriez du mal à comprendre. Déjà que la vie est assez prise de tête comme ça, alors si en plus faut que ça soit pareil dans les moments de plaisirs. Ça ne sert à rien.
<< effectivement. Il nous a bien remis un écran plat JVC. >>
Et un lave vaisselle BOSCH?
<< oui. Une table basse OVIDIA. Une armoire en bois fruitier…>>
J’avais raccroché. Je ne comprenais rien a ce qu’il ce passait. Toute c’est choses m’appartenaient et ce Antoine juvelle les avait vendu.
c’est après cet épisode là que tout c’est accéléré.
vu que la totalité de mon appart était vendu, il s’était mis en tête de le remplir. J’avais une nouvelle table basse, un nouveau réfrigérateur. Il avait même changé le papier peint. Je ne fumais pas et pourtant je retrouvais des clopes écrasées dans les pots de fleurs. Mes affaires étaient remplacée par d’autre. Dés fois quand je me réveillais, il y avait le disque de NIRVANA qui tournait dans la chaîne. Une guitare acoustique était apparu dans le salon. Mon appart prenait chaque jours une nouvelle forme.
Pour qu’une histoire soit plus intéressante encore, vous pouvez parler de vous de temps en temps. De cette façon le lecteur peut connaître qui est derrière le texte. En ce qui me concerne, si je n’écrit pas tous les 3 jours, je commence à devenir fou. Je réfléchi de plus en plus. Ça ne s’arrête pas. Je pense à penser. Je dois écrire pour fatiguer mon cerveau. Le rendre plus calme. C’est un remède comme un autre pour rester
en vie.
Quand j’ai ouvert la porte à la police, d’un coup tout m’est revenu en mémoire. Je me souviens que petit, mes parents m’avaient envoyé voir un psychiatre. Après plusieurs entretiens, il avait conclu que j’avais une deuxième personnalité qui dormait en moi. Elle pouvait se réveiller à tout moment. Et ça devait être le moment. Une deuxième personnalité qui m’avait foutu en taule. En volant une porche, il y a avait eu une couse poursuite avec la police. Ça avait suffit à me mettre 5 ans d’emprisonnement.
Aujourd’hui, il me reste 1 ans.


Chapitre 2


Ce qui me faisait marrer à la prison de la santé, c’est que je pouvais me réveiller avec des douleurs au visage. Parfois c’était aux jambes aux épaules, mais le plus souvent c’était le visage qui en prenait le plus. Même si ma taie d’oreiller était régulièrement lavée, elle gardait en mémoire tous les combats d’Antoine. Enfin, seulement pendant une semaine. Après chaque lavage les taches de sang sur la taie d’oreiller disparaissaient. Je pouvais juste savoir combien de combat avait fait Antoine durant la semaine. Et à cause de ses conneries, je me trimballais tout le temps avec des glaçons sur le visage. J’avais toujours une main prise. Je mangeais avec une main, m’habillais avec une main, jouais au carte avec une main. Un petit foot de temps en temps avec toujours des glaçons sur la gueule.
L’avantage d’avoir toujours une main occupé a soigner son visage, c’est qu’on comprends la merde que c’est de perde un bras. Et jamais après ça on voudrait le mettre en jeu.
Si je vous dit ça, c’est parce que ce con d’Antoine a eu cette putain d’idée, un jour, de mettre en jeu mon bras. Il n’arrêtait pas de perde des clopes au poker. Et quand il s’est retrouvé en caleçon, il a dit tapis. Il a dit: << je te promet de me couper le bras si tu gagne. Mais pour ça il faut que tu t’alignes. Mon bras vaut beaucoup plus que tous ce que tu as mis en jeu. Tu doit mettre quelque choses d’équivalant. Une jambe par exemple. Alors qu’est-ce t’en dit. Tu te couche ou tu continu? >>
T’es vraiment un taré Antoine. Bien sûr que je me couche. Je ne suis pas aussi fou que toi. Pour un jeu de carte, jamais je perdrai un morceau de moi. Tu joue trop avec ta vie Antoine. Ça te tuera un jour.
Un autre truc aussi pour rendre une histoire intéressant. Mettais des phrases philosophiques pour que le lecteur puisse s’en servir dans la vraie vie. On ne sait jamais, ça peu toujours sauver quelqu’un.
<< Tu savez que tout les jours, chacun de nous met ça vie en jeu sans s’en apercevoir. >>
Et une petite contradiction ne fait jamais de mal. Ça rappel à tous que chacun a un vision différente de la vie.
Il y a des limites Antoine. Entre toi qui mise un bras au poker et celui qui n’en mise pas. Le premier de vous deux qui a le plus de chance de le perde, c’est toi, Antoine.
Et normalement quand deux idées s’opposent, il y a toujours cette lutte d’avoir le dernier mot. Alors puisque personne des deux n’aura entièrement raison, autant approuver l’idée adverse. La phrase culte de Kaamelott devrai faire l’affaire
<< C’est pas faut. >>
J’ai quand même eu du mal à m’en remettre: j’ai failli ne plus avoir de bras. Heureusement qu’il s’est couché. De toute façon, Antoine n’a jamais su à quel point ç’est casse couille de s’habillais avec un bras, c’était toujours moi qui guérissait les blessures. C’était moi qui me coltinais les glaçons sur la gueule toute la journée. Et lui, non, c’était un malin. Quand j’était presque guérir, il apparaissait et organiser des combats dans la prison. Il pariait des clopes, des médicaments. Avec les gardiens c’était des minutes de téléphone qu’il pariait. Et c’est seulement quand je suis sortit de prison, que j’ai su a quoi servait toutes ces minutes de communication en plus.
Annie Cristal. C’est comme ça qu’elle s’appel. Elle était devant la prison à m’attendre. Posait sur le capot de sa voiture elle me faisait des grands signes de la main. Même si je ne supportais plus Antoine, on pouvais bien le supporter encore parce qu’il avait de bon goût.
Elle avait des yeux à faire tomber un taureau. Un look punk qui me plaisait. Et encore mieux que ça, une grande personnalité.
<< Antoine m’as tout dit. Je sais que là tu n’ai pas lui mais que à tout moment tu peux être lui. Aller, Monte. On a du pain sur la planche. >>
Comment ça?
<< Je t’expliquerai ça sur le chemin. On est déjà en retard. >>

Chapitre 3

Ce qu’on ne sait pas quand on commence une suite, c’est comment une simple histoire qu’on croyait terminé peu prendre une grande ampleur. On a vite fait de se retrouver avec 53 chapitres à écrire, si on ne se limite pas à seulement quelques uns.
On était arrivé à Noirmoutier. Pour information, c’est une petite île avec deux grande cheminé au nord de celle-ci. Si un jour vous allez à la pointe Saint-Gildas, vous aurez cette impression que cette île ressemble à un sous-marin en marche. Et tout de suite je pense à: Qui est le connard qui a eu l’idée de foutre des cheminées?
On s’était arrêté devant une maison. Et Annie me dit:
<< voila, nous y sommes. C’est l’endroit qu’à choisi Antoine pour commencé sa grande opération. >>
Une maison qui tombe en ruine. Il aurait pu choisir mieux quand même.
<< Ne dis pas n’importe quoi. Qui irai se douter que le plus farfelu des projets est né ici. Personne ne pensera que derrière ces ruines le premier club de sorcellerie a vu le jour. Allez, vient, on entre. >>
Au premier coup d’oeil, je dirai que le portail n’est plus là demain. Quand on le touche il tombe en miette.
<< Antoine à acheté cette maison juste avant votre entrez en prison. C’est-à-dire il y a 5 ans. Je devais y séjourner et commencer à recruter du monde. Mettre des affiches disant que si vous en avez assez de l’injustice, venez faire un tour au n°3 rue prévor, sur l’île de Noirmoutier. Rien que le lendemain, des gens attendaient derrière le portail. Tiens, aide moi à ouvrir la porte. Avec la pluie elle a gonflé. >>
Toutes les pièces étaient plaines de poussière. À chaque pas que je faisais, j’avais cette drôle de sensation de marcher dans la neige. Dit moi, ça fait combien de temps que personne n’est venu ici?
<< 1 ans. Tout les gens qui sont venu ici, se sont éparpillés dans la France pour ouvrir des clubs de sorcellerie. Ça faisait parti du projet d’Antoine. Mon travail consistait d’abord à leur apprendre comment il était possible d’infliger une malédiction avec la parole. Chacun avant de partir devais savoir comment créer des accidents, faire tomber des grêlons. Ils ont tous eu des tests. Et Bien sûr, il y en a toujours un qui échoue. Viens, c’est par là. On monte à l’étage. >>
Comme dans toutes les vielles maisons, les marches grinçaient sous nos pas.
<< Je lui avais demandé d’aller dans un bar et de dire au barman que demain une pluie de grêlon allait faire écrouler son bar. Et que les rapports de police diront que c’était dû à son ancienneté. Mais Il n’y a rien eu de tout ça. Le soleil a brillé toute la journée. Peut-être que quelques goûtes de pluie sont tombé, inexplicablement. Mais j’avais demandé un désastre et Antoine m’a dit de virer tous ce qui échouait aux tests. Il ne voulait pas de personne pouvant mettre en péril son projet. >>
On venait d’entrer dans une chambre. Avec son briquet elle commença à allumer les bougies une par une.
Mais d’où te vient se savoir?
<< C’est Antoine qui me la enseigné. Il a trouvé un bouquin dans une bibliothèque, qui contenait plusieurs façon d’infliger des malédictions. Bon, maintenant, déshabiller toi. On doit faire un môme. Pour te rassurer, ça fait parti du projet. >>


Chapitre 4


Regarde ce que t’as fait Antoine. Le monde est devenu un foutoir. Et ce truc pour nous séparer. Tout ça c’était de la connerie.
<< Espèce d’imbécile. Toi, t’es comme c’est gens qui on peur de la mort. Alors que moins tu en as peur et plus tu vivras. C’est ça que personne ne sait. Tu es pitoyable. Tu me rappel tout ces malades qui pensent qu’a se plaindre. Et n’oublions pas qu’une personne malade a voulu être malade. Elle as tellement peur de vivre sa vie qu’elle préfèrent être malade. Dans un monde où plein de gens n’ont rien d’autre à faire qu’a soigner les autres, à compatir pour la soufrance d’autrui, c’est plus facile d’être malade que d’accomplir quelque chose dans sa courte existence. Et toi, t’es pareil. Maintenant que je ne suis plus là, tout ce qu’il y a autour de toi, t’effraye. L’homme réfléchit alors qu’il n’en a pas besoin. Est-ce que t’as déjà vu un lion hésiter devant une proie? Allez, réponds bordel de merde. Qu’est-ce qui y a? Ma vérité de te coup la langue. On est des gaulois mon vieux. Il faut que tu t’y fasses. Des combattants, des guerriers. C’est tout ce qu’on est. >>
On s’était réfugié sur l’île de Noirmoutier. Dans la maison où Annie et moi avions copulé. D’ailleurs elle nous a quitté. Pas dans le sens que son corps a rejoint la terre. Mais dans le sens qu’elle c’est enfuie après avoir était sûr d’être bien enceinte. Antoine n’aurai jamais du lui dire qu’il y avais un sortilège pour faire naître un enfant doté de pouvoir. Tout suite, là, maintenant, ça parait pas claire. Un peu vaste. Mais il était dit que dans une veille maison, si deux corps s’étreignaient sur un lit de poussière, sous la lueur de quelques bougies enflammées. L’enfant conçu ce soir là, bénéficiera à jamais de pouvoir. Plus besoin d’apprentissage. Se sera inné chez lui. Il vous dira que vous êtes fatigué et vous vous écroulerez de fatigue. Il pensera que vous allez avoir un accident mortel de la route, et le lendemain on vous a retrouvé mort dans votre voiture. Un camion vous aura roulé dessus. Un grand pouvoir à ne pas prendre à la légère. Un grand pouvoir qu’Annie veut garder. L’homme pense à lui avant de penser aux autres. C’est du chacun pour soit et dieu pour tous.
<< Alors, qu’est-ce tu compte faire? Me tuer. Tu m’as déjà tiré une balle dans la jambe, autant finir le travail. Tu vois, même là encore, tu montres à quel point l’homme réfléchit plus qu’il doit agir. Que tu me tue ou pas, dans tout les cas tu aura fait le bon choix. Tu trouveras toujours une phrase pour justifier ton acte. On n’a jamais rien fait de mal, on a toujours fait le bon choix. Allez, qu’est-ce tu attends? TIRE! >>
On était à l’endroit même où j’ai couché avec Annie. Par la fenêtre le monde avait bien changé. Tout les gens savaient maintenant comment infliger des malédictions. Le pôle nord n’existait plus; quelqu’un avais dit Qu’un bateau - c’est sûr que vous allez pas me croire - allait volontairement percuter le point vital de cette île flottante glaçonnée. Elle se fissura en deux et provoquera des ras de marrés. La mer montera de niveau parce que les morceaux du pôle nord auront dérivés vers des pays chaud.
<< arrête de parler dans ce magnétophone. Finit ton travail bordel. Au moins, tu auras une fois dans ta vie finie quelque chose. >>
C’est vrai, je ne vous l’ai pas encore dit. Cette histoire est racontée depuis le début dans un magnétophone. Est-ce quelqu’un m’entends? Allo? Allo? Non, personne ne m’entend. Si un jours vous trouvais se magnétophone, prenais la peine d’écouter cette histoire jusqu’à la fin. Enfin, on est déjà à la fin. J’aurai du y penser avant.
<< Et ouai. T’es vraiment con. >>
Je ne vais pas m’amuser à rembobiner la cassette. Je risquerais d’effacer le début. Donc, pour ce qui auront suivi cette histoire jusqu’à la fin, merci. Merci d’avoir tout entendu. Ça représente quelque chose pour moi. Tout homme dans la vie se doit de laisser une trace. On ne sais pas pourquoi, mais ça à toujours était comme ça. Peut-être qu’on cherche une vie après la mort. On dit souvent que tout est éphémère. Moi je ne crois pas. Il y toujours quelqu’un sur cette terre qui se souvient de nous. Même la planete elle-même si elle venait a disparaître, elle laissera un petite quelque chose. Un souvenir qu’un jours elle hébergé toutes sortes d’espèces. Y compris nous.
<< Aide moi à me relever. L’eau commence à arriver jusqu’à nous. >>
On va mourir Antoine. C’est l’heure.
<< C’est pas parce que Noirmoutier est de plus en plus sous la mer, qu’on vas mourir. À ce que je sache, l’eau n’a jamais était mortelle. Allez, aide moi bordel. >>
Quand on raconte une histoire…
<< arrête de parler et viens m’aider. >>
C’est toute une vie qu’on raconte. Y compris la fin. La fin d’une existence passée…
<< Ah, putain, je commence à être trempé. >>
D’une existence dans ce monde. A-t-elle était bien? Avons-nous fait de notre mieux? Avons-nous était ce qu’on a toujours voulu être?
<< À t’entendre, on dirait que tu vas nous quitter. >>
Quand vous entendrez le boum. Je ne serai plus de ce monde.
<< Ah ah ah. Comme ç’est marrant. Tu sais bien que si tu meurs, je meurs aussi. C’est la règle du sort qui nous a permis de nous diviser en deux personnes. >>
Je le sais Antoine. Tu ne m’apprends rien. Mais regarde ce qu’est devenu le monde. C’est l’anarchie totale. Tout les gens se jettent des sorts. Regarde tes conneries.
<< Ce n’est pas des conneries. J’ai offert à ce monde le plus beau des cadeaux. On est tous à arme égale maintenant. Personne n’est plus fort qu’une autre personne. Ce n’est pas comme si j’avais un flingue et toi une épée. Est-ce que tu vois le truc? La plus puissante des personnes n’est pas plus puissante qu’un enfant de 8 ans. À arme égale j’te dis. Allez aide moi à me relever et partons retrouver annie. >>
Boum!




Salvia